lundi 23 avril 2012

1STDAA : De quoi le mot vintage est-il le nom ?

Vintage (Prononciation originale anglaise : [vintɛdʒ]1 ou francisé : [vɛ̃taʒ]2) ou le millésimé3 désigne en œnologie le millésime – surtout attesté pour le porto – (le mot signifie en anglais vendange ou vin millésimé).
Par extension dans la mode pour désigner un vêtement ou un accessoire ancien ou datant de l'époque où il a été créé, on parle d'habits vintages, millésimés ou rétros. (...)

Habillement
D'abord utilisé pour désigner les vêtements anciens de créateurs prestigieux (Chanel, Dior, Yves Saint Laurent, Hermès…), le terme vintage s'est étendu à toute pièce d'occasion, datant au plus tard des années 1980, et reflétant un moment particulier de l'histoire de la mode du XXe siècle. La vogue du vintage est telle que le mot est désormais usité au XXIe siècle par extension pour toute pièce un tant soit peu rétro
Or, contrairement à la fripe où peuvent se mêler toutes origines, le vintage est d'abord le reflet d'une authenticité, que ce soit par la marque, les techniques de couture ou les tissus employés.
La mode du vintage, commencée dans les années 1990, s'est développée mêlant fashionistas et antiquaires du vêtement. Lors d'une vente aux enchères consacrée à Paul Poiret en 2005, les prix ont atteint jusqu'à plus de 100 000 euros pour un manteau. Certaines grandes maisons de couture, attirées par l'aubaine, développent des collections de rééditions de leurs modèles (le smoking Yves Saint-Laurent, par exemple). Les grandes expositions consacrées à l'histoire de la mode ne désemplissent pas (par exemple, Balenciaga, une rétrospective présentée par le Musée des Arts décoratifs à Paris de juillet 2006 à janvier 2007). Cette vogue serait peut-être due à une réaction contre la massification de la mode.
Les principales sources de vintage sont les boutiques spécialisées et les ventes aux enchères (classiques ou en ligne). Suivant la provenance, l'époque ou l'état du vêtement, les prix peuvent aller de quelques dizaines d'euros à des milliers. Les pièces les plus recherchées sont les pièces griffées, ou antérieures à 1950. (...)

+ PDF salon du Vintage


Pour cette 9ème Edition, Puma propose la Suede et la Clyde.
La PUMA SUEDE est la chaussure vintage par excellence, faisant appel aux racines de la marque ; c’est donc en toute logique qu’on la retrouvera lors du salon du Vintage en mars prochain à Paris, où la marque a décidé d’intervenir pour présenter son savoir-faire et une partie de sa collection ARCHIVE.
PUMA présentera donc un panel de la collection PUMA SUEDE Printemps Été 2012, ainsi que quelques coloris exclusifs qui ont traversé les époques et le temps !
Sans avoir pris une seule ride au cours de toutes ces années, gardant la même silhouette si épurée, la même conception, la PUMA SUEDE fait tout de même peau neuve grâce à une palette de couleurs uniques, vintages et authentiques !
Née en 1968 dans les bureaux d’études de PUMA en Allemagne du côté d’Hzerzogenarauch, La PUMA SUEDE est devenue au cours des années 70/80, un objet icône, élément incontournable de la communauté B-BOY.
Au fur et à mesure des années, la cultissime chaussure s’enrichit de nouvelles tendances, plus street, plus urbaine, jusqu’à devenir dès les années 90 un élément prépondérant des mouvements skate et musique alternative.
Douce au toucher grâce à une fabrication basée sur du cuir de veau « suedé », la PUMA SUEDE se caractérise également par un design lisse, fin et notamment plus étroit sur le devant de la chaussure qui se déclinera dans la fameuse Clyde pour le basketteur Clyde Frazier.


Le Marché de la Mode Vintage :
Le marché est un évènement grand public. L’entrée visiteurs est à 3€ avec un shopping bag offert aux 15 000 premiers visiteurs, afin de pousser le concept jusqu’au bout. Le Marché de la Mode Vintage, est comme son nom l’indique un véritable marché, où tout le monde peut venir vendre et acheter des vêtements et accessoires chics et de préférence griffés datant des années 50 aux années 80 (tissus, broderies, boutons, chaussures, bijoux, chapeaux, prêt à porter, également un peu d’objets design et de petit mobilier). Les exposants : aussi bien particuliers, collectionneurs, professionnels, créateurs travaillants sur la thématique Vintage, venus de toute la France mais également des places Européennes depuis 2004 et des Etats Unis.
Le Vintage :

Le Vintage trouve son origine dans l’œnologie et caractérise un grand cru.
Il y a une quinzaine d’années ce terme a été repris par les domaines de la mode et du design.  Un vêtement ou un objet Vintage est un vêtement ou un objet griffé ou signé, mais peut aussi désigner un vêtement ou un objet non griffé qui traduit le style d’une époque ou d’un couturier / designer.
Utilisé dans de nombreux domaines, le Vintage, désigne des produits griffés ou stylisés, ayant une histoire, comme une âme. Nostalgique des temps passés, consommateurs comme créateurs ne cessent de s’inspirer de la mode des années 30 à 80 avec des rééditions, réinterprétations, ou grandes expositions en hommage aux plus grands. Plus qu’un vêtement, ou objets d’une autre décennie, le vintage est un style de vie. Du rare, griffés ou non, emblématique d’un courant.

Pour mériter cette appellation l’objet/le vêtement doit :
  • Avoir au moins 20 ans d’âge
  • Témoigner du style propre d’un couturier / designer
  • Etre dans son état originel donc ne jamais avoir subi de transformations
  • Représenter un instant de mode ou de design
  • Etre parfaitement conservé

L'exposition "Vidéo Vintage" trace, à partir d'une sélection de bandes "fondatrices" de la collection du Centre Pompidou, une trajectoire de l'art vidéo de 1963 à 1983.

Cinquante années ont vu défiler les recherches et les développements de la vidéo comme outil critique, et son intégration dans les milieux artistiques. Née en 1963, la vidéo a traversé tous les courants esthétiques de la modernité, de la performance à la mouvance Fluxus, de l'art minimal à l'art conceptuel pour poursuivre son évolution dans le courant post-conceptuel et avec les investigations actuelles liées aux cultural studies.

Durant les deux premières décennies de son histoire, les années 1960 et 1970, le médium vidéo a été adopté par des artistes aux démarches variées, expérimentant la bande vidéo par la performance, l'autofilmage, dans le contexte des laboratoires de télévision, par des recherches approfondies sur les diverses possibilités de la couche analogique et, pour poursuivre, par des essais conceptuels.

L'exposition « Vidéo Vintage » trace, à partir d'une sélection de bandes vidéo « fondatrices » de la collection du Centre Pompidou, une trajectoire de l'art vidéo et une synthèse des premières décennies de l'art contemporain. La scénographie, elle-même « vintage », donne la priorité au confort de visionnage du spectateur. Des salons structurent l'espace en différentes sections et accueillent les spectateurs pour un voyage dans le temps, celui de l'œuvre. Une occasion de découvrir ou de redécouvrir des œuvres d'artistes dont la renommée n'est plus à faire, des œuvres devenues désormais incontournables.